25 février 2008

Finir le travail à Amfreville-sur-Iton


Marie-Joëlle Lenfant, maire d'Amfreville-sur-Iton a raison de penser que la traversée de sa commune n'est pas sans danger. Ce n'est pas parce qu'un candidat passe trois ou quatre fois dans le village à bicyclette que le danger vient de naitre. Il existe depuis des années et comme le trafic poids lourds est de plus en plus important et de plus en plus polluant, les riverains et les élus locaux aimeraient bien que le conseil général fasse ce qu'il faut pour remédier à l'état de cette départementale.
Quand on n'est pas élu, il est facile de prendre des engagements. Encore que certains élus en prennent plus par démagogie que par efficacité. Encore que ce n'est pas à mon âge que je vais mentir sur ce en quoi je crois. Le danger est tel qu'il y a urgence. Pour la sécurité, d'abord et pour la tranquillité du village qui, par ailleurs, présente deux entrées (ou deux sorties, c'est selon) très réussies. Il faut se mettre autour d'une table, négocier avec le président (futur) de la commission spécialisée et convaincre le président (JL Destans) de la nécessité de finir le travail. C'est cela être conseiller général.

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