8 juin 2012

Loncle-Questel, un tandem complet au service des Eurois

François Loncle en réunion publique à Louviers. (Photo JCH)
Nous ne sommes qu'à quelques heures de l'ouverture du premier tour du scrutin législatif. Quelques heures pour affirmer ses convictions et s'interroger sur le sens de ce vote historique. Imaginons un seul instant, comme l'a déclaré François Loncle, hier soir à Louviers, en réunion publique, que Jean-François Coppé, leader de l'UMP, soit nommé premier ministre d'une cohabitation qu'aurait décidée les électeurs français ? Imaginons le cauchemar ! Un secrétaire général de l'UMP, sarkozyste à tout crin, ennemi de la gauche, amoureux de l'argent et des niches fiscales dont l'une porte son nom, premier ministre de Hollande ! Ce serait, non pas la fin des haricots, mais la fin de la belle histoire débutée le 6 mai dernier avec l'élection de François Hollande.
Je sais que les Français seront cohérents et constants. Je sais qu'ils donneront à François Hollande la majorité dont il a besoin pour conduire une politique sociale plus juste, plus en harmonie avec l'histoire de notre pays et ses traditions. Le modèle français ne doit pas mourir. Avec l'UMP poussée par le Front national, il en serait fini de la retraite à 60 ans pour les personnes ayant commencé à travailler tôt. Il en serait fini des 60 000 postes à créer dans l'Education nationale. L'augmentation du Salaire minimum serait mort-née. Les 5000 postes dans la police et la gendarmerie ne verraient pas le jour. L'Europe de Merkozy se frotterait les mains. L'Europe des financiers et des capitaux n'aurait plus rien à craindre.
Alors, en ce dernier jour de campagne, réfléchissons bien avant de choisir le bulletin décisif. En ce que nous concerne, le choix est déjà fait : nous voterons François Loncle sans aucune hésitation. Il est le député qu'il nous faut. Dans la crise que nous traversons, la majorité aura besoin d'élus d'expérience, habitués aux joues avec la droite. Le gouvernement aura besoin de députés capables de monter sur les fronts, en France, en Europe et dans le monde. François Loncle a fait ses preuves. On le connaît, on l'apprécie. Habitants ou élus des 101 communes de la circonscription savent que le député de Louviers traite tous les dossiers sans a priori, dans le respect de l'intérêt général. Avec Bruno Questel, son nouveau suppléant, président de commission au conseil général, c'est un tandem complet qui sera au service des Eurois.

6 juin 2012

A Andé, des démocrates à la sauce facho…

Qui sème la haine ? Qui répand la violence ? Alors même que Marine Le Pen accuse Jean-Luc Mélénchon d'être un antidémocrate et un adepte de l'intolérance, les faits qui se sont déroulésn hier soir à Andé, démontrent que le Front national demeure intrinsèquement un ennemi de la République et du pacte républicain.
Bien que cette visite ait été tue par le FN, nombreux sont ceux qui savaient que Jean-Marie Le Pen venait sous chapiteau, à Andé, hier, pour soutenir les cinq candidats frontistes dans l'Eure. Comme souvent en pareil cas, un comité d'accueil comprenant des élus et des militants de gauche (une petite centaine) a accueilli l'amateur de bons mots et de surtout de thèses xénophobes à quelques encablures du cirque-ranch plus habitué à abriter les chevaux et les clowns. Il est vrai que, parfois, Il ne manque que le nez rouge à Jean-Marie Le Pen pour proférer ses blagues salaces et ses calembours hasardeux.
Toujours est-il que le service d'ordre du FN, gros bras et petits cerveaux, préfère utiliser la force plutôt que la persuasion, ce qu'on ressenti dans leur chair les quelques militants victimes d'insultes et d'horions. Christian Renoncourt, conseiller municipal de Louviers, a d'ailleurs décidé de porter plainte pour coups et blessures victime comme Richard Jacquet, maire de Pont-de-l'Arche, de la horde frontiste.
Les beaux discours de Marine Le Pen n'y changeront rien. Le Front national demeure un parti au sein duquel la violence est consubstantielle : « Je cause pas je cogne » comme dirait Audiard.  Ayant moi-même été agressé, hier matin, dans l'impasse Decrétot par un soutien des Le Pen, je sais qu'il faut y regarder à deux fois avant de mettre les tracts dans les boites à lettres. Nerfs de bœuf et chien méchant ne sont jamais bien loin. Enfin, pour illustrer les propos de ces démocrates à la sauce facho, je vous livre la version non expurgée du sentiment qu'inspire mon ami François Loncle à ce guignol : « Il est pas encore crevé ce vieux salaud ! » le vieux salaud n'est heureusement pas celui qu'on croit !
Voici le communiqué de Marc-Antoine Jamet, premier secrétaire fédéral du Parti socialiste de l'Eure

5 juin 2012

La réunion publique est indispensable au bon fonctionnement de la démocratie

Bruno Questel, François Loncle et Alain Loeb, maire de Saint-Pierre-du-Vauvray. (photo JCH)
On peut dire et écrire ce qu'on veut, les réseaux sociaux et les blogs ne remplaceront jamais la bonne vieille distribution de tracts sur les marchés, dans les boîtes à lettres, le porte à porte ni les réunions publiques. J'étais présent, hier soir, à Saint-Pierre-du-Vauvray, pour écouter François Loncle, candidat PS dans la 4e circonscription de l'Eure et Bruno Questel, son suppléant. face à une vingtaine de personnes, le député et son acolyte ont longuement expliqué leur positionnement sur trois sujets essentiels : le soutien à l'ouverture du canal Seine-Nord, la ligne nouvelle ferroviaire Paris Normandie, l'emploi et la reprise du site M.Real.
Les réunions publiques sont un outil essentiel du bon fonctionnement de la démocratie. C'est, pour les citoyens, le moyen d'interroger les candidats et pour les sortants, l'occasion de leur demander des comptes sur leurs votes et sur leur bilan. De 2002 à 2012, François Loncle a été un député d'opposition. Il s'agit évidemment d'une situation plus simple que lorsqu'on est dans la majorité à devoir rendre des comptes et justifier la politique conduite par le gouvernement et le président.
François Loncle aspire donc à redevenir un député actif, combatif, positif. Les sondages donnent un certain avantage à la gauche mais tout dépendra de la mobilisation d'un électorat qui peut considérer avoir fait le gros du travail en sortant Nicolas Sarkozy. Et pourtant, l'essentiel reste à faire : donner une majorité de gouvernement à François Hollande, éviter une cohabitation source de troubles divers, surtout si l'on se réfère à l'état de crise dans lequel se situe le pays.
le canal Seine-nord : il serait utile pour modifier le monopole du transport par route et ouvrir la Normandie à l'Europe mais il coûtera cher. Sera-ce une priorité nationale ? La ligne nouvelle ferroviaire ? Bruno Questel, responsable des infrastructures au conseil général considère que le doublement de la ligne entre Paris et Mantes résoudra nombre de problèmes normands : « ma conviction est que l'extension au-delà de Mantes ne se fera pas. »
Quant à l'avenir de M. Real, un syndicaliste présent, après avoir salué la mobilisation et le travail des élus dont François Loncle, à l'origine d'une proposition de loi sur les reprises, affirme qu'un repreneur serait susceptible de racheter l'outil en juillet prochain. Rien n'est donc tout à fait perdu.
Les Lovériens pourront poser leurs questions au député jeudi 7 juin à 20 h 30, lors de la réunion organisée dans la salle Pierre Mendès France de l'hôtel de ville.

4 juin 2012

Réélire François Loncle à l'Assemblée nationale c'est se prémunir contre le pire des systèmes : la cohabitation


Réélire François Loncle à l’Assemblée nationale est nécessaire. Il nous faut un député de la majorité présidentielle pour notre circonscription.
François Loncle agira pour le changement :
   Pour tenir les engagements pris par François Hollande,
    Pour traduire dans les actes législatifs les 60 propositions du Président de la République,
   Pour travailler avec efficacité avec le gouvernement de Jean-Marc Ayrault,
   Pour redresser la France,
   Pour rassembler les Français et leur redonner confiance en l’avenir,
   Pour agir en permanence au service de la justice sociale,
   Pour défendre nos territoires, nos industries, nos commerces, notre agriculture, nos services publics,
Elire François Loncle député de la majorité présidentielle c’est la certitude de se prémunir contre le pire des systèmes : la cohabitation.
 « Une cohabitation ce serait l’impossibilité pour le Président de la République de peser en faveur d’une réorientation de la politique européenne qui conduise à plus de croissance.
Une cohabitation, ce serait l’affaiblissement de la France face à nos partenaires en Europe et dans Le Monde.fr Une cohabitation ce serait le retour aux pratiques anciennes du pouvoir que nous avons voulu proscrire avec la charte de déontologie, la fin de la parité, le maintien du cumul des mandats entre les fonctions de ministre et de dirigeant d’un exécutif local.
Une cohabitation ce serait surtout l’application du programme de la droite qui prévoit dès l’automne prochain une nouvelle augmentation de la TVA alors que nous voulons une réforme fiscale juste, ce serait la poursuite de la réduction des effectifs dans l’éducation nationale alors que nous voulons donner de nouveaux moyens au plus bel outil de l’égalité des chances,
Une cohabitation ce serait l’austérité généralisée alors que nous voulons lier rigueur de gestion et croissance pour tous. » Cette citation de Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, résume l'enjeu du premier tour et évidemment du second. Il est question de donner une majorité à François Hollande pour qu'il mette en œuvre son programme, ses projets, ses promesses. A dire vrai, il a très bien débuté son quinquennat. Pas d'esclandre, pas de bling bling, un gouvernement qui gouverne, des hommes et des femmes aussi solides que sérieux. Les Français doivent être cohérents. Ils doivent confirmer une majorité de gauche les 10 et 17 mai prochains.